vendredi 3 décembre 2010

Le pervers narcissique . Témoignage par Claude Vent

Livre témoignage par Claude VENT

http://www.amazon.fr/Agathe-Claude-Vent/dp/2748358864/ref=sr_1_fkmr0_1?ie=UTF8&qid=1293963972&sr=8-1-fkmr0






Marie, après le décès d’Agathe, découvre ce que son amante a vécu avec un pervers narcissique et prédateur sexuel avant de la rencontrer. Elle dévoile des années de soumission, de silence, et d’abnégation qui ne s’effaceront jamais et qui amèneront Agathe jusqu’au cimetière.
Agathe aura essayé de tourner la page et aura tenté de retrouver une "estime de soi". Cependant elle ne sera jamais parvenue à se défaire des sentiments de honte et de culpabilité, face à un homme qui la détruisait, qui abusait d’elle, qui la prostituait.

Violences, viols, stratégie de manipulation, dépendance, humiliations, sadisme, perte de confiance et d'estime de soi...

Agathe a pris conscience très tard de l'enfer dans lequel un homme l'avait mise et conservée.

Au bout de ce chemin, c'est souvent la mort subite ou lente...

…J’étais douée, j’avais des facilités, je réussissais tout à l’école, dans le sport, dans les arts, dans mon travail… et un jour, tout simplement, je l’ai croisé. Il était malade je crois… Il a voulu que je le sois aussi et dans un moment d’égarement qui a duré des années, bêtement… j’ai dû dire oui."


15,20 € TTC - 126 pagesEAN n° 9782748358865 - Edition brochée - Livraison gratuite sur Amazon

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9 commentaires:

  1. Bonjour à vous, votre histoire est pire que la mienne !
    Je n'ai pas vécu avec un homme narcissique , mais j'ai subi , des attouchements à l'âge de 9 ans par un oncle, 1 viol par un copain quand j'avais 25 ans environ, et un viol conjugal , quelques violences psychiques .
    Je m'estime heureuse par rapport à nombre de femmes qui vivent ça au quotidien !
    Je prend la référence de votre livre et je vais voir avec mon libraire, je garde votre blog chez moi afin d'informer mes copinautes !
    Je vous souhaite une belle journée, et non certaines ne sent remettent jamis complètement, moi non plus du reste mais je vie et je vais de l'avant, c'est le principal
    Amicalement
    Isabelle
    PS je viens de faire un petit article sur le blog avec votre lien

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  2. il n'existe pas d'échelle du pire.
    ça laisse des traces à toutes.
    Parfois je me demande si ce n'est pas les traitements que nous avons reçus petites qui nous mettent dans des situations de soumission par la suite.
    Je place un lien en retour
    Bien amicalement
    Claude

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  3. tout simplement émouvant... si je n'avais pas eu mes enfants et des amis solides (bien qu'épuisés).. je suivais tranquillement le chemin d'Agathe, prête à tout pour défendre et sauver le prédateur... Lorsque je l'ai croisé, il était malade (dépressif et alcoolique).. c'est mon profil d'enfant abusé qui m'a poussé à vouloir le guérir, ça je le sais aujourd'hui..
    A quand une reconnaissance juridique des "proies"...
    Merci Claude

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  4. Bonjour à toutes et peut être à tous.
    Il peut y avoir reconnaissance juridique des proies quand il y a dépôt de plainte. Pour déposer une plainte, il faut des preuves et des faits.
    Chaque victime doit accumuler des preuves et constituer un dossier.
    Le moindre coup physique doit faire l'objet d'un constat. Tout doit être noté dans un journal et sauvegardé chez quelqu'un de confiance.
    Un pn peut être très dangereux. De par son intelligence, il peut organiser des accidents et faire passer sa proie pour une étourdie, une "folle".
    Il a voulu me tuer "sans le faire exprès". Si j'ai échappé à cela, c'est qu'inconsciemment, à l'époque, je me méfiais déjà de lui.

    J'ai vécu avec un mal être permanent avec cette insoutenable sensation d'être toujours en danger dans tous les domaines : physique, financier, travail, moral ( environnement social détruit)

    Mon pn n'a jamais oublié de m'apporter de l'alcool pour entretenir une dépendance et pour s'assurer que j'étais alcoolique : preuve probable pour lui de mes dérives à montrer aux autres.

    Il a commencé à décrocher quand il a compris que j'avais pris le dessus sur cette dépendance là et que par là même mon comportement et ma vision des choses changeaient.

    Nous avons, nous, en tant que victimes, le devoir de nous armer et d'en sortir ne serait-ce que pour nous même mais aussi pour notre entourage.
    Le pn, lui, ne changera pas : il est pn car par essence il est dans le déni.

    Ce que j'ai vécu en humiliations, en coups, en fourberies, en tromperies, en abus sexuels avec violence et ce qui s'est traduit en un désastre professionnel et familial, je ne le souhaite à personne.

    Je n'en suis pas sortie: j'ai toujours en moi cette colère et un désir de vengeance, de reconnaissance.
    Et... comme dit anonyme du 21 janvier...cela correspond à une reconnaissance aussi que j'attendais de mes parents.
    On croit pouvoir en venir à bout mais c'est tout simplement vivre avec des illusions.

    La vraie question est : comment ne pas croiser des pn quand on se met, sans le vouloir, à les rechercher nous mêmes et que, lorsque quelqu'un de non pn nous tend la main, nous sommes totalement déroutées dans la mesure où nous n'avons pas été habituées à de la gentillesse et à des faits qui nous mettent en confiance.

    Claude

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  5. Je lis vos mots avec tant d'attention....coupable d'avoir trop aimé un homme pour repenser sa vie ! Après une union de 20 ans dont deux enfants sont nés, séparée, j'ai rencontré un homme charmant qui enfin savait me donner l'attention dont je rêvais...mais le rêve est devenu cauchemard...alors rapidement installé sous mon toit, je l'ai entretenu durant pratiquement 3 ans, nous avons eu un enfant aujourd'hui 11 mois.Il s'est infiltré dans mes affaires, ma vie personnelle et le pire de tout dans mon être.

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  6. Suite ....Comme vampirisée, il m'a insultée et dénigrée quotidiennement, battue à 3 reprises. Mais par amour et pour notre fille je n'ai eu de cesse d'essayer de me remettre en question, mais il avait toujours raison, savait me culpabiliser pour que je ne crois plus qu'en lui...Sous hypnôse, il m'interdisait de manger lorsque j'avais faim me disait que je n'étais bonne à rien et d'ailleurs qui aurait bien voulu de moi ... J'ai pensé au pire à plusieurs reprises, et j'ai commencé à parler, à comprendre que je n'étais pas responsable et surtout n'était aux yeux des autres pas celle qu'il décrivait. Déstabilisée j'ai encore essayé de lui faire consulter un médecin mais chaque main tendue s'est retournée contre moi...il arrive à manipuler tout ce qu'il entoure.
    Puis ma famille l'a écarté de moi, puis j'ai commencé à me protéger de lui ... associations de violences conjugales, médecins, professionnels de la petite enfance pour la sécurité de notre fille, avocats, justice en déposant une plainte pénale....à laquelle il a rétorqué par une plainte contre moi pour calomnies

    Et aujourd'hui...la loi entre nous, m'a permis durant quelques mois de commencer ma reconstruction car il devait rester loin de moi et de mes enfants, j'ai réussi à l'éloigner de ma vie personnelle et professionnelle...mais et il y a un mais, nous avons un enfant et c'est là dessus qu'il table sa vengeance depuis des semaines. Je résiste mais à nouveau manipulations, mensonges, diffamations et alors que tous les professionnels reconnaissent l'amplitude et la gravité de la situation pour protéger notre enfant de cet individu qui a été mon bourreau et avec des attitudes plus qu'inquiétante sur notre enfant...UNE Assistante sociale remet tout en cause dans un rapport...en quelques heures d'entretien, elle décrit une personne charmante à qui elle ne comprend pas pourquoi une telle dangerosité est attribuée. Nous sommes tous choqués et l'avenir de notre enfant en dépend. Je vais devoir mercredi apporter devant le juge les arguments nécessaires pour une révision de ce dernier "rapport" juste hallucinant aux yeux de tous les gens qui me suivent et connaissent le dossier.
    En prenant les décisions courageuses d'éloigner l'homme que j'aimais, à qui j'ai tout donné, je savais que la reconnaissance des faits de moi et mes enfants victimes serait un lourd parcours, mais à la lumière des derniers événements, je n'aurais jamais pensé que tout cela puisse un jour se retourner contre moi...J'ai la satisfaction d'avoir changé le destin de notre fille en ne me laissant plus faire et plus baffouée. Elle aura le miroir d'une femme qui sait réagir et non plus subir..mais juste imaginer que désormais cela va être la seule personne en contact direct avec lui me donne les frissons...Je ne sais pas comment protéger un si petit être innocent de l'homme qui est certes son père mais qui est aussi un être qui a une définition de l'amour bien personnelle...que faire je me sens désemparée et suis terrorisée à l'idée de l'audience de ce mercredi où soi dit en passant, ce sera la première fois où je le reverrai depuis 4 mois...imaginer la répercution de satisfaction sur ce dernier rapport et l'éventualité que la justice suive ces conclusions me donne juste les frissons...J'ai peur et me sens une nouvelle fois impuissante. Mon chemin de victime est long mais le fait d'épargner un enfant l'est encore plus...!
    Nathalie

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  7. à Nathalie
    Malheureusement, le schéma est classique. Cet homme a été éloigné de ta vie par décision de justice et une assistante sociale qui n'est absolument pas compétente en matière de psychiatrie et de perversion vient dire qu'il est "charmant".
    le problème est que des avis sont demandés à des personnes qui ne savent pas qu'un pn recommence toujours et qu'un pn sait séduire et cacher ce qu'il est.
    Ton avocat ne peut-il pas faire valoir ce point là?
    En quoi une assistante sociale a t elle autorité en matière de pn ?
    je te souhaite beaucoup de courage
    tiens nous au courant

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  8. Bonjour Claude, j'espère que vous allez bien et que vous avez un peu vendu votre livre, je n'ai pas vraiment eu le temps de m'en occuper , mais je le ferais .
    Je vous embrasse et à bientôt .

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  9. Il y a quelques années, François Petit du Portofino.ca a fait affaire avec d’autres personnes (certains individus en prison maintenant) pour intimider une personne très honnête en le menaçant par les Hells Angels après son travail. Les Hells Angels ont sorti leurs mitraillettes par la fenêtre sans raison apparente.

    Un moyen malade et continuer de lui baiser la poche (il est bisexuel). Yves Moreau est sa petite gouine. En passant ils connaissent : Pascal et Patrice Saint-Pierre dans un asile de fous à Montréal. Les deux malades mentaux qui ont changé le showbiz Québécois malhonnête à encore plus malhonnête.
    Moreau est un chef de restaurant : hypocrite, pervers narcissique, obsédé du sexe, visage à deux faces, qui crache sur ses semblables et qui pense seulement à sa petite caquette (Scoreland), une âme moralisatrice dans les bibliothèques des écoles secondaires.

    En terminant passe ton poignet et après passe la rondelle d’une équipe pro qui existeras jamais.

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